01 Avr Laissons la performance aux machines.
Vous l’avez vu dans quelques-unes de mes publications ou entendu sur WKND 91,9 : je suis la TRÈS fière porte-parole de Québec Mitsubishi et Ste-Foy Mitsubishi, une équipe attentionnée qui a réellement fait la différence dans ma vie. Depuis que je roule dans mon Eclipse Cross, je me sens bien. Tout simplement. Bien de savoir que je suis en sécurité. Bien d’avoir la certitude que mon bolide m’emmènera partout. Mon Eclipse Cross m’offre toujours une performance à la hauteur de mes attentes. Beau temps, mauvais temps, ma conduite ne s’en ressent aucunement.
Mais on oublie souvent une chose TRÈS importante : pour faire fonctionner ces « machines de performance », ça prend un humain. Un homme, une femme. Une personne avec des connaissances, des habiletés, mais surtout une personne avec des émotions. Ses émotions.
J’entends parfois des cyclistes se vanter d’avoir mis la main sur ZE vélo. Celui qui lui fera pousser encore plus de watts ou encore celui qui est tellement aérodynamique qui lui permettra de diminuer son temps de course… Et que dire du coureur qui est très fier de porter LA paire de chaussures la plus évoluée à ce jour. Celle qui lui donnera toute l’impulsion nécessaire pour faire son meilleur temps à vie.
Je l’admets, oui. C’est évident que ça prend de l’équipement pour atteindre ses exploits sportifs en triathlon ou en course à pied, notamment. C’est essentiel ! Mais si je n’enfilais pas mes chaussures, si je ne mettais pas le pied sur les pédales de mon vélo ou encore si je ne mettais pas la clé dans le contact de mon Eclipse Cross… rien ne se produirait. Absolument rien. Aucun indice nous permettant de croire à une quelconque performance de ladite machine.
Tout ça pour dire que la machine, c’est nous ! On est l’auteur de notre réussite sportive. Les efforts, les entraînements et la persévérance sont des termes que nos équipements ne connaissent pas. Nous, oui. On doit travailler sur soi pour s’améliorer. Et d’aplomb à part de ça ! Physiquement mais surtout mentalement. Il y a beaucoup de nos émotions qui gèrent le résultat que l’on va obtenir lors d’une course. Il suffit d’un peu de fatigue, d’une période plus difficile au travail ou encore d’une excellente nouvelle pour que tout bascule. Impossible pour moi de livrer la même performance lorsque je suis épuisée et stressée que lorsque je suis reposée et débordante d’énergie. La machine va faire son travail, mais rien de comparable à tous les efforts que nous allons déployer pour arriver à se dépasser !
Et quand ce moment arrive… quand vous avez l’immense satisfaction de dire que votre course s’est exceptionnellement bien déroulée, c’est en raison de votre vélo ou votre paire de runnings, vous croyez ? Non. C’est uniquement grâce à vous ! Laissons la performance aux machines et la croissance personnelle aux humains. Vous êtes PLUS que des machines !
Ce texte a été écrit en collaboration avec Virginie Lamothe.